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Ligue des champions : Le Real, roi des renversements, Paris en démonstration, la Juve et Dortmund en patrons

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La Ligue des champions a ce don de rappeler que les certitudes n’existent pas. À Manchester, City a cru tenir sa revanche face au Real Madrid, avant de s’effondrer comme d’habitude. Pendant ce temps, le PSG a fait du PSG, en écrasant Brest sans trembler. À Turin et à Dortmund, la logique a été respectée, mais avec des styles bien différents. Retour sur une soirée européenne riche en émotions.

Le Real Madrid et son ADN inoxydable

Ils étaient menés. Ils ont souffert. Ils ont renversé le match. Madrid fait du Madrid. Manchester City avait pourtant tout pour plier cette manche aller. Un but d’Haaland dès la première période, une domination technique qui laissait penser que, cette fois, les Skyblues allaient tenir. Mais il suffit d’un grain de sable dans l’engrenage. Et ce grain de sable, c’est toujours Madrid.

Brahim Díaz a d’abord profité d’une erreur défensive pour remettre les siens dans la course, puis Jude Bellingham a décidé de prolonger la malédiction de City dans le temps additionnel. Guardiola l’a encore vécu : contre le Real, il ne faut jamais croire que c’est fini avant le coup de sifflet final.

Le PSG en mode rouleau compresseur

Le PSG en Coupe d’Europe, c’est parfois des doutes, des sueurs froides, des scénarios rocambolesques. Mais pas cette fois. Pas contre Brest. Luis Enrique voulait tuer le suspense rapidement, ses joueurs ont répondu présents. Vitinha a ouvert le score sur penalty, puis Ousmane Dembélé a pris le relais avec un doublé, confirmant sa forme stratosphérique du moment.

Brest a tenté d’exister, mais Paris était trop fort, trop rapide, trop clinique. Un 3-0 net, propre, sans bavure, qui met les Parisiens dans une position idéale avant le retour. Une soirée sans accroc, et ce n’est pas si souvent en Ligue des champions.

La Juve, solide sans être brillante

C’est une Juventus à l’ancienne qui s’est imposée face au PSV Eindhoven. Un bloc compact, une défense bien en place, et un pragmatisme à toute épreuve. Weston McKennie a ouvert le score, mais le PSV a cru pouvoir revenir dans la partie en égalisant. Il a fallu attendre Mbangula en fin de match pour libérer le public de Turin et offrir un léger avantage aux Italiens avant le retour.

Ce n’était pas du grand spectacle, mais c’était efficace. Et après tout, la Juve ne s’est jamais souciée de plaire.

Dortmund, sans trembler

Dortmund n’a pas eu besoin de forcer. Face au Sporting CP, les Allemands ont livré une partition maîtrisée, pliant l’affaire dès la première période. Serhou Guirassy a encore marqué, Pascal Gross et Karim Adeyemi ont enfoncé le clou. 3-0, affaire réglée.

Contrairement au Real Madrid, le Borussia ne laisse pas de place au suspense. Il fait le travail, proprement, efficacement, et se met à l’abri avant le retour. Certains aiment les frissons, d’autres préfèrent la tranquillité.

Une soirée où chacun a joué son rôle

Le Real Madrid a rappelé que sa relation avec la Ligue des champions défie toutes les logiques. Le PSG a fait parler sa supériorité avec une facilité déconcertante. La Juventus s’est accrochée à sa solidité défensive, et Dortmund a fait ce qu’il sait faire de mieux : plier l’affaire rapidement.

Il reste encore une manche retour, mais les tendances sont claires. Reste à voir qui saura confirmer.

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